En ce jeudi 1er septembre 2010, jour de rentrée scolaire du petit Nicolas, entre également en vigueur la mise en place d’une nouvelle grille harmonisant les tarifs de cantine scolaire dans toutes les écoles maternelles, élémentaires et collèges des 20 arrondissements de Paris, dans une souci de justice sociale, d’égalité et de transparence.
Cette réforme des tarifs de la restauration scolaire à Paris, un engagement de Bertrand Delanoë lors de la campagne municipale de mars 2008, a été votée par le Conseil de Paris lors de sa séance du 11 mai 2010.
L’objectif de cette réforme de justice sociale est de garantir l'égalité de tous les petits Parisiens face au coût de la cantine en proposant les mêmes tarifs aux familles de tout Paris, en fonction d’une grille de 8 tranches calculés en fonction du quotient familial de la CAF (et donc en fonction des revenus). Ainsi, les tarifs s’échelonnent maintenant de 0,13 cents pour les familles les plus modestes à 5 euros pour celles dont les revenus mensuels dépassent 7 500 euros avec deux enfants. Des tarifs moindres que dans la plupart des grandes villes d’Ile de France.
Mais rassurer vous chers électeurs de droite, tous les élus UMP ont voté contre cette réforme, préférant la fronde manifestement illégale à la rupture, au grand dam du petit Nicolas qui lui aussi préfère manger à la cantine, mais du chateau !
Jean Francois Lamour (député du 15ème arrondissement et Président du groupe UMP au Conseil de Paris) et l’ensemble des ses collègues du groupe UMP-PA préfèrent voir perdurer un système dans lequel chaque maire d’arrondissement fixe lui-même, via la caisse des écoles d’arrondissement, le tarif de la restauration scolaire dans son arrondissement… meilleur moyen pour la droite parisienne d’entretenir une évidente disparité entre les différentes familles de Paris, entre arrondissements, le tout en préservant un système clientélisme local digne de la flamboyante période du RPR parisien. Les parents qui ont des enfants scolarisés dans plusieurs arrondissements ne comprennent rien à ce système, injuste et franchement opaque.
Or, comprenant que grâce à Bertrand Delanoë 65% des familles parisiennes verront leur tarif de cantine baisser, trois maires d’arrondissements UMP ont décidé d’appliquer la réforme de justice sociale du Maire de Paris. Il faut dire que Jean François Legaret, maire du 1er, Jean Tibéri, maire du 5ème et Rachida Dati, maire du 7ème connaissent bien le sens du mot rupture et la justice (comme magistrats et/ou condamnés…), eux qui ne représentent presque plus rien aux yeux des responsables nationaux de l’UMP et du petit Nicolas.
En cette rentrée, le petit Nicolas et toute l’équipe de « La droite pour les nuls » invitent donc Jean-Pierre Lecoq, maire du 6ème, François Lebel, maire du 8ème, Philippe Goujon, député-maire du 15ème, Claude Goasguen, député-Maire du 16ème et Brigitte Kuster, maire du 17ème à changer d’ère, rejoindre leurs collègues Legaret, Tibéri, Dati dans le respect des lois et décisions exécutoires… et donner avec eux un temps d’avance à Paris !!!
Cette réforme des tarifs de la restauration scolaire à Paris, un engagement de Bertrand Delanoë lors de la campagne municipale de mars 2008, a été votée par le Conseil de Paris lors de sa séance du 11 mai 2010.
L’objectif de cette réforme de justice sociale est de garantir l'égalité de tous les petits Parisiens face au coût de la cantine en proposant les mêmes tarifs aux familles de tout Paris, en fonction d’une grille de 8 tranches calculés en fonction du quotient familial de la CAF (et donc en fonction des revenus). Ainsi, les tarifs s’échelonnent maintenant de 0,13 cents pour les familles les plus modestes à 5 euros pour celles dont les revenus mensuels dépassent 7 500 euros avec deux enfants. Des tarifs moindres que dans la plupart des grandes villes d’Ile de France.
Mais rassurer vous chers électeurs de droite, tous les élus UMP ont voté contre cette réforme, préférant la fronde manifestement illégale à la rupture, au grand dam du petit Nicolas qui lui aussi préfère manger à la cantine, mais du chateau !
Jean Francois Lamour (député du 15ème arrondissement et Président du groupe UMP au Conseil de Paris) et l’ensemble des ses collègues du groupe UMP-PA préfèrent voir perdurer un système dans lequel chaque maire d’arrondissement fixe lui-même, via la caisse des écoles d’arrondissement, le tarif de la restauration scolaire dans son arrondissement… meilleur moyen pour la droite parisienne d’entretenir une évidente disparité entre les différentes familles de Paris, entre arrondissements, le tout en préservant un système clientélisme local digne de la flamboyante période du RPR parisien. Les parents qui ont des enfants scolarisés dans plusieurs arrondissements ne comprennent rien à ce système, injuste et franchement opaque.
Or, comprenant que grâce à Bertrand Delanoë 65% des familles parisiennes verront leur tarif de cantine baisser, trois maires d’arrondissements UMP ont décidé d’appliquer la réforme de justice sociale du Maire de Paris. Il faut dire que Jean François Legaret, maire du 1er, Jean Tibéri, maire du 5ème et Rachida Dati, maire du 7ème connaissent bien le sens du mot rupture et la justice (comme magistrats et/ou condamnés…), eux qui ne représentent presque plus rien aux yeux des responsables nationaux de l’UMP et du petit Nicolas.
En cette rentrée, le petit Nicolas et toute l’équipe de « La droite pour les nuls » invitent donc Jean-Pierre Lecoq, maire du 6ème, François Lebel, maire du 8ème, Philippe Goujon, député-maire du 15ème, Claude Goasguen, député-Maire du 16ème et Brigitte Kuster, maire du 17ème à changer d’ère, rejoindre leurs collègues Legaret, Tibéri, Dati dans le respect des lois et décisions exécutoires… et donner avec eux un temps d’avance à Paris !!!