Le lieutenant-colonel Goujon (député-maire, Président de la fédération UMP de Paris, élu du 15ème et habitant Paris 5ème) et le Président Lamour (dit JFL, élu du 15ème, habitant du 16ème) font aujourd’hui face à la fronde de l’infanterie de leurs élus du régiment des pieds nickelés UMP, toujours déboussolés par leur grave déroute électorale, en Ile de France et dans Paris, des régionales 2010 (malgré le parachutage de 4 ministres et d'anciens ministres), qui fut encore plus cinglante que celle de mars 2008.
Suite aux manœuvres des différents bataillons hystéro-colériques qui se sont affrontés le 9 avril dernier pour l’élection de leur Président (JFL, réélu), certains comiques troupiers crypto-sarkozistes à la modestie légendaire ont immédiatement déserté les rangs de cette armée fantôme (la peu travailleuse Lynda Asmani, l'ex UDF insipide Eric Helard, l'envoyé/employé du MEDEF Jérôme Dubus…).
Certains gradés préfèrent s’inventer des excuses pour ne plus se rendre au "mess" des officiers partager la même table -à la convivialité peu évidente selon des témoins- que leurs collègues maires d’arrondissements.
Enfin, à l’occasion du vote au Conseil de Paris du mardi 11 mai sur la réforme d’uniformisation des tarifs de toutes les cantines scolaires de Paris (mesure de justice sociale qui fera baisser plus de 65% des prix des repas des cantines pour les familles modestes et moyennes), de nombreux snipers et tirailleurs ne se sont pas déplacés pour marquer leur opposition à la posture rétrograde choisie par les "stratèges" de leur groupe contre cette mesure d’égalité, promise aux électeurs par la gauche lors de la campagne électorale de mars 2008.
Comme le dit si bien le caporal-chef Legaret (leader défait par ses troupes, maire du 1er), persuadé d'être un éminent stratège, « c’est la petite chronique de la haine ordinaire de la droite parisienne »… mais nombre d’élus murmurent à qui veut bien les écouter: "si j’aurais su, j’aurais pas venu !"
Suite aux manœuvres des différents bataillons hystéro-colériques qui se sont affrontés le 9 avril dernier pour l’élection de leur Président (JFL, réélu), certains comiques troupiers crypto-sarkozistes à la modestie légendaire ont immédiatement déserté les rangs de cette armée fantôme (la peu travailleuse Lynda Asmani, l'ex UDF insipide Eric Helard, l'envoyé/employé du MEDEF Jérôme Dubus…).
Certains gradés préfèrent s’inventer des excuses pour ne plus se rendre au "mess" des officiers partager la même table -à la convivialité peu évidente selon des témoins- que leurs collègues maires d’arrondissements.
Enfin, à l’occasion du vote au Conseil de Paris du mardi 11 mai sur la réforme d’uniformisation des tarifs de toutes les cantines scolaires de Paris (mesure de justice sociale qui fera baisser plus de 65% des prix des repas des cantines pour les familles modestes et moyennes), de nombreux snipers et tirailleurs ne se sont pas déplacés pour marquer leur opposition à la posture rétrograde choisie par les "stratèges" de leur groupe contre cette mesure d’égalité, promise aux électeurs par la gauche lors de la campagne électorale de mars 2008.
Comme le dit si bien le caporal-chef Legaret (leader défait par ses troupes, maire du 1er), persuadé d'être un éminent stratège, « c’est la petite chronique de la haine ordinaire de la droite parisienne »… mais nombre d’élus murmurent à qui veut bien les écouter: "si j’aurais su, j’aurais pas venu !"