S’étant fixé comme noble objectif de vous informer en transparence et vérité, les membres de l’équipe de « La Droite pour les nuls » souhaitent aujourd’hui vous révéler, après plusieurs mois d’enquête, pourquoi Jean-François Lamour pourrait éventuellement être prochainement soumis à la question, voire à une enquête. Le Président du groupe UMP du Conseil de Paris, député du 15ème mais résident du très chic 16ème, serait au cœur de deux très étranges et lucratifs possibles conflits d’intérêt.
Episode 1, la surprenante reconversion d’un sabreur
En attendant que soit dévoilé l’année prochaine le nom du pays européen qui accueillera en 2018 le très lucratif tournoi international de golf du trophée « Ryder Cup », l’équipe de « La Droite pour les nuls » attire dès aujourd’hui votre attention les fonctions et activités apparemment troubles de Jean-François Lamour.
En effet, vous pourriez être aussi surpris que nous en apprenant que Madame Roselyne Bachelot, actuelle Ministre des sports, est allée le 2 octobre 2010 dernier, au frais du contribuable, rejoindre, au Celtic Manor Resort à Newport au pays de Pays de Galles, Jean-François Lamour, Richard Hills, directeur du comité Europe de la Ryder Cup et Georges Barbaret, président de la Fédération française de golf.
Vous le serez certainement plus en apprenant que Jean-François Lamour (ancien conseiller sports au cabinet de Jacques Chirac à la ViIle de Paris à la "grande époque" des marchés truqués, faux électeurs et autres emplois fictifs...et ex-ministre des sports du même M. Chirac entre 2002 à 2007) est aujourd’hui membre du conseil d’administration du Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF)…mais comme représentant de la fédération française de golf …drôle de reconversion pour un ancien champion olympique de sabre, même s'il a pris beaucoup de poids politique ces derniers 20 ans !
Quelle sera votre réaction quand vous comprendrez que Monsieur Lamour profiterait un peu trop de ses anciennes fonctions ministérielles et réseaux politiques pour assurer, par tous les moyens, aux grands argentiers du golf hexagonal comme aux riches actionnaires des sites de paris sportifs en ligne l’organisation en France de la Ryder Cup ?